Oui, à cet instant précis où ma voix retentit.
Là où l'écho est fort, empli de tristesse ou de faiblesse.
Je m'arrête là, net et précis, pour l'instant et c’est ainsi ...
Le besoin pressant de faire passer un message.
Le message d'un temps des plus lointains au plus serein.
Message qui à travers les âges représente l'exode d'une pensée.
A toutes ces fois, où nous avons laissé passer, douté de notre propre intégrité.
A toutes ces fois, où la remise en question se fait à sens unique.
A toutes ces fois, où le pardon est devenu une habitude pour perpétuer l’abus.
Maintes et maintes fois, s'adapter car il le faut puisque nous le devons alors nous le faisons. Cela reste une illusion de croire que nous nous sommes choisis dans ces conditions.
Ensuite vient la tempête de nos choix et quand elle s'abat, le réflexe n'est que primaire, pourtant propre à chacun. Fuir, se cacher, se taire, pleurer, observer, nier, crier, s’excuser, se justifier, hurler, s'affliger…
Autant de possibles que d'être inspirant la peur rêvant de l'expier pour s'entourer de paix et de bonheur.
C'est souvent là que commence la prière, l'appel, la demande à ce grand tout, ce grand manitou.
C'est toujours là que commence la solution, la conclusion à ce passé fou.
C'est jamais là que s'arrête la lueur d'espoir du bonheur puisqu'elle naît au cœur même de cet instant.
Ils diront:
– Je souffle aujourd'hui sur les peines qui t’encombrent
Ils crieront:
– Je te protège aujourd'hui de l'écho de ces mots qui te pèsent
Ils concluront :
– Je te préserve aujourd'hui dans le plus sacré, l’instant présent, par le changement.
Je m'arrête là, à cet instant et je me vide de mes tourments.
Allégée je reçois toutes les réponses à mes interrogations et j'avance apaisée.
Un voyage dans le fait de ne rien faire qui se propose.
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Belle semaine à toi
Dounia AJAMI
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